Résumé :

Résumé : Le paradigme multi-agents passe actuellement du statut d'objet expérimental à celui exp... ‘; rime n tai '4 • qi d'objet d'implémentation pour des applications concrètes. Il est donc temps de se préoccuper de la conception de systèmes incluant l'usage d'un SMA. L'interaction Homme-SMA diffère de l'interaction Homme-ordinateur habituelle car elle met en jeu des entités autonomes (les agents) et une entité multiple (le SMA). Elle diffère également des interactions de types agent- SMA et agent-agent car les problématiques liées à l'utilisateur interviennent. Si on considère l'utilisateur comme un agent du système, sa spécificité apparaît dans la difficulté à le modéliser, dans son statut de décideur prioritaire et dans le type de communication particulier à mettre en place. La conception d'un tel système pose des questions particulières à ce type d'interaction, telles que la place de l'Homme dans le système, la perception du SMA par l'utilisateur ou l'explication de l'activité du SMA.

Résumé : RésuméNous nous intéressons aux mécanismes de sélection d’actions basés sur les comportements.Différentes méthodes permettent de sélectionnerune action à partir des propositions de chaquecomportement. Le vote présente de nombreuxavantages par rapport aux autres méthodes. Lesarchitectures existantes présentent cependantplusieurs défauts. Nous proposons une amélioration de la méthode, les modifications visent àréduire les problèmes de mise au point, à sélectionner les décisions dans un espace continuet à augmenter le nombre des comportementscouramment utilisés. Nous essayons égalementde rationaliser le mécanisme de vote. Les résultats en environnement statique montrent que lemodèle est capable d’atteindre son objectif enrespectant des contraintes et en persistant dansses choix. Les résultats en environnement dynamique décroissent lorsque le nombre d’agentsest supérieur à vingt.

Résumé : Dans ce papier, nous nous focalisons sur l'une des approches existantes : les jeux stochastiques à somme générale, pour faire interagir des agents autonomes. L'équilibre de Nash a été choisi comme moyen d'obtention de la politique jointe. La validation a été réalisée sur un exemple Muse tratif et l'évaluation a été effectuée en com- parant avec un modèle centralisé (MMDP). Les résultais préliminaires montrent l'intérêt duqualité de la solution en fonction de la taille del'espace d'états.

Résumé : es systèmes multi-agents constituent désormais une des approches fréquemment utiliséesdans un objectif de modélisation et de simulation de trafic routier. Des progrès restent toutefois à accomplir en vue d’améliorer le réalisme des comportements humains simulés, dontle comportement des conducteurs automobiles.En particulier, si le processus de décision a faitl’objet de nombreux travaux, le processus deperception a été relativement peu approfondi.Notre hypothèse est qu’une amélioration pourrait provenir de la prise en compte de la limitation de capacité de la perception simulée. Cetravail vise ainsi à intégrer un seuil de perception à un modèle d’agent afin d’étudier son influence sur le comportement global du trafic simulé.

Résumé : Les données collectées et les traitements à réaliser ne font qu’augmenter au sein des véhicules visant à une certaine autonomie, alors queles capacités des systèmes embarqués sont limitées. Les infrastructures des villes intelligentestelles que les Unités de Bord de Route (UBR)peuvent fournir des ressources supplémentairesaux véhicules. Se posent alors des questions derépartition des tâches et de gestion des interactions entre véhicules et UBRs, ainsi qu’entreUBRs. Ces problématiques concernent des éléments distribués et connectés, dont certains présentent une forme d’autonomie, avec une composante dynamique et des informations partielles.Ces caractéristiques en font un cas d’étude etd’application naturel pour les systèmes multiagents. Afin d’évaluer diérents modes d’interaction entre véhicules et UBRs, nous proposonsde modéliser et simuler ceux-ci dans le cadred’une architecture multi-agent.